SALSA CUBAINE / BACHATA / KIZOMBA

3 styles, 3 ambiances, choisisser la votre

la salsa cubaine

Vous souhaitez apprendre la salsa cubaine ! Découvrez cette danse sensuelle et festive, au tempo vif et entraînant. C’est la danse en couple la plus pratiquée en France. Elle s’impose comme un excellent moyen pour chacun de s’exprimer, dans la joie et le partage.
Vous être intéressé par la salsa cubaine, mais vous n’osez pas vous lancer ? Pas de panique. Cette danse peut être commencée à tout âge, et même les débutants prendront beaucoup de plaisir à bouger sur ce rythme. Il est possible d’apprendre à danser la salsa et particulièrement le style cubain, très rapidement.
Dans cet article, découvrez ce qu’est la salsa cubaine et la rueda de casino, l’importance de la position fermée et les pas de danse de base. Tout ce dont vous avez besoin pour enfin entrer dans la danse.

la BACHATA !

La bachata est l’une des danses latines les plus faciles à apprendre. Le rythme permet de se détendre rapidement et d’aborder les cours de danse sans stress, et même avec légèreté. La bachata est une manière joyeuse de mettre les corps en mouvement. Son principal pas de base est assez simple à maîtriser ce qui en fait une danse particulièrement adaptée aux débutants. Elle se pratique sur des rythmes doux et souvent romantiques.

Vous rêvez vous aussi d’apprendre la bachata ? Découvrez les origines de cette magnifique danse ainsi que des conseils pour vous exercer seul ou à deux. Très vite, vous vous amuserez en pratiquant cette belle danse latine !

 la kizomba

Contrairement au semba, la kizomba est une danse d’improvisation, lente et complice, qui se pratique à deux. Surnommée “tango africain” pour ses points communs avec le tango argentin, elle est souvent comparée à une marche élégante et poétique, guidée par l’homme et favorisant la complicité et la confiance au sein du couple.

C’est une danse sociale, qui s’adapte à tous les couples de danseurs en fonction de leur degré d’intimité. Elle se caractérise par une posture fermée.

DANSE AFRICAINE / AFROBEATS

AFROBEATS

Vous aimez la musique africaine et sa culture ? L’Afrobeats est un mix de nombreux steps : Dancehall,Kuduro, Afro-House, coupédécalé, Ndombolo… Viens travailler ton attitude, ton flow et tes déhanchés. Le but de ce cours ? découvrir tout en vous amusant des styles de danses différents et lâcher prise! Venez vous éclater,transpirer et progresser avec nous.

AFRO DANCEHALL

Nouveau cours très tendance, qui se développe de partout en France ! Le cours d’Afro dancehall, combinera les steps de Dancehall avec les steps d’Afrobeats. Un soupçon d’Azonto, d’Afrobeats. Des fusions de rythmes à la musicalité Africaine.

Venez prendre la Vibes!!

RAGGA DANCE HALL

RAGGA DANCE HALL

Découvrez l’énergie et le groove du Ragga Dancehall au Centre de Danse COUDERC. Nos cours de Ragga Dancehall offrent une expérience immersive dans cette danse urbaine dynamique, enseignée par des professeurs passionnés et talentueux.

Le Ragga est une danse de rue combinant différents styles de danses urbaines comme le Reggae, le Hip-Hop mais aussi les danses africaines d’où elle tient ses origines.

On peut la nommer de trois manières différentes : Ragga, Dance Hall ou Ragga Dance Hall.

La danse Ragga associe les ondulations du bassin et du buste de manière dynamique.

Au cours d’une musique, s’alternent alors des phases plus sensuelles et d’autres plus énergiques entrecoupées, transportant le danseur dans un univers particulier. 

Ce n’est pas l’apprentissage et la technicité de vos pas qui vont prévaloir mais plutôt votre capacité à vous approprier la musique, votre attitude et le style que vous dégagez. 

Dans cette optique, assumer son corps et sa personnalité pour faire ressentir aux autres le plaisir que l’on prend à pratiquer cette discipline est nécessaire. Pas de panique si vous n’êtes pas encore tout à fait à l’aise, c’est la pratique qui vous permettra de vous ouvrir.

La séduction est au coeur de cet art et permet aux filles et aux garçons de manifester leurs intérêts de manière agréable.

Les pas de base sont très abordables, l’important est de ne faire qu’un avec la musique. Une fois que vous maîtriserez les fondements laissez-vous porter par vos envies. Parmis les principaux, on retrouve le butterfly (écartement des genoux en rythme pour ensuite les ramener vers l’avant en roulant les hanches), le dutty wine, le hoola hoop (référence au mouvement que l’on fait avec les cerceaux), le ticking, hot wuk ou encore le gully creeper pour n’en citer que quelques uns.

Lors d’un cours, vous pratiquez en duo. Là encore, il faut être en accord avec la personne en face de vous, créer une complicité autour de ce moment. C’est là que réside la force de votre performance. 

Pourquoi prendre un cours de Dancehall ?

  • Elle est très bénéfique pour une bonne condition physique grâce à l’intensité et l’énergie qu’elle demande
  • Elle muscle le corps et en particulier les cuisses, les fessiers et la taille 
  • Elle permet d’affirmer sa personnalité et de s’ouvrir mais également de se sentir mieux dans son corps
  • Le relâchement total étant essentiel, elle vous aidera à vous détendre et à vous amuser
  • A travers cette danse, vous développerez une flexibilité et une coordination dans vos mouvements
  • Le fort lien avec la musique amplifie votre oreille musicale
  • Les cours sont conviviaux, chaleureux et accessibles à tous 

Quelle tenue pour cette danse ?

La tenue idéale doit être confortable, vous devez vous sentir libre de vos mouvements. Vous pourrez opter pour un jogging ou des leggings. Pour le haut de votre corps, un débardeur ou tee-shirt à manches courtes assez ample sont conseillés car vous transpirez sûrement beaucoup lors d’une séance. 

Libre à vous de choisir des tennis ou des baskets, de préférence qui n’aient pas des semelles glissantes.

Notre conseil

Abordez ce cours en ayant l’esprit ouvert et le corps détendu. Si vous êtes de nature réservée ne prenez pas peur, le cours vous accompagnera dans votre épanouissement et votre ouverture aux autres. 

Origines

Comme beaucoup de danses urbaines, le mouvement Dance Hall Reggea est né dans un contexte délicat à la fin des années 80 en Jamaïque.

Acquis au cours des années 60, le pays peut enfin jouir de son indépendance. Néanmoins, l’économie connaît un déclin des plus pénible. 

L’art (musique, danse…) devient alors un outil dont les personnes se servent dans un premier temps afin de partager des histoires, des anecdotes, ce que l’on pourrait appeler des “faits divers » aujourd’hui.
Petit à petit, les textes deviennent plus engagés et permettent aux jamaïcains de militer pacifiquement. 

TANGO ARGENTIN

TOUS LES LUNDIS 20H30

Le tango : histoire d’une danse et d’une musique

Pieds d'un couple de danseurs pendant le championnat du monde de tango argentin à Buenos Aires.
Pieds d’un couple de danseurs pendant le championnat du monde de tango argentin à Buenos Aires. © Getty – Willy GS

Des bas fonds de Buenos Aires aux riches salons parisiens, le tango est une musique qui se danse aussi bien qu’elle s’interprète. Histoire d’une culture à mille facettes.

Le tango est né à la fin du XIXe siècle, dans la région du Rio de La Plata (l’embouchure de l’Océan Atlantique qui sépare l’Argentine de l’Uruguay). Si on le classe désormais parmi les “danses de salon”, il s’est pourtant développé bien loin des appartements et palais feutrés. Le tango a émergé dans les faubourgs populaires de Buenos Aires, dans les conventillos où s’entasse à la fin du XIXe siècle la population pauvre d’Argentine. 

L’histoire du tango en vidéo : 

Dans les ports et barrios (quartiers), on trouve aussi bien des descendants d’esclaves, des anciens paysans marginalisés par la seconde révolution industrielle, et un grand nombre de travailleurs immigrés européens (espagnols, italiens, français, allemands…) venus tenter leur chance dans ce nouvel eldorado argentin.

Pour s’amuser, se divertir ou se rappeler leurs terres d’origine, ces hommes – les femmes ne représentent plus qu’un quart de la population – dansent entre eux, mélangent leurs rythmes, leurs traditions et leurs chants. Et c’est ainsi que naît le tango : dans le barrios populaires de Buenos Aires, teinté d’un drôle de mélange entre habanera cubaine, candombe africain, danse gitane et chanson italienne… 

Si le quartier de La Boca à Buenos Aires est aujourd'hui associé au berceau du tango par (et pour) les touristes, le tango n’est cependant pas né dans un quartier spécifique.
Si le quartier de La Boca à Buenos Aires est aujourd’hui associé au berceau du tango par (et pour) les touristes, le tango n’est cependant pas né dans un quartier spécifique. © Getty – Adina Tovy

Une danse de mauvais garçons

Dans ces quartiers de la capitale, les _compadres (_voyous et chefs de bande) font la loi. Ce sont eux aussi qui dansent le tango. Leurs pas et mouvements ne ressemblent toutefois pas encore à ceux que l’on connaît aujourd’hui : ils sont plus rapides, plus suggestifs aussi ; car ce tango des origines est un tango canyengue, un tango canaille exécuté dans les bordels ou bals de rue par les mauvais garçons. 

Peu à peu la fièvre du tango contamine toute la ville : on le danse dans les bals, les guinguettes, et les premiers Orquestas típicas se forment. Au début du XXe siècle émerge ainsi ce qu’on appellera la Guarda Vieja, interprètes de la première heure, ceux qui vont codifier la musique et la danse et se faire gardiens de la tradition. 

Les musiciens d’un Orquesta típica (bandonéonistes, violonistes, pianistes et contrebassistes) n’ont alors qu’un seul et unique objectif : faire danser. Entraîner les couples sur la piste de danse. Naissent ainsi quelques-uns des plus grands standards du tango milonguero : El EntrerrianoEl ChocloLa Cumparsita… Ces succès ne manquent pas d’installer le tango parmi les danses les plus populaires du Rio de la Plata. 

NB : La cumparsita a été composée par le musicien uruguayen Gerardo Matos Rodríguez.

Le premier tango à Paris 

Parce qu’il est dansé par les ouvriers et les marins, le tango voyage. Il traverse l’Océan Atlantique pour s’installer dans les cabarets et bordels des ports européens. Cette danse suggestive va même jusqu’à s’installer dans les beaux salons parisiens. Car dans la capitale française, en ce début de XXe siècle, c’est la Belle Époque (pour les plus aisés, du moins) : les bourgeois raffolent de divertissements exotiques ou coquins. 

Adopté par la jeunesse des beaux quartiers parisiens, le tango perd quelque peu de son caractère scandaleux, et ce succès mondain lui ouvre une nouvelle ère : celle, cette fois-ci, d’une danse de salon, d’un art adopté partout et par tous. 

Au même moment, en Argentine, des années 1920 à la décennie 1950, le tango triomphe. Quelques-uns de ses interprètes tels que Carlos Gardel, chanteur disparu tragiquement en 1935 dans un accident d’avion, s’érigent en ambassadeurs de la culture nationale. A Buenos Aires le tango est roi, et gare à celui qui, comme Astor Piazzolla, oserait s’y frotter. 

Affiche du Café Riche en 1914. Dessin de Georges Redon.
Affiche du Café Riche en 1914. Dessin de Georges Redon. © Getty – Apic/RETIRED

Le cas Piazzolla

Le compositeur argentin est né à Mar del Plata, mais il a grandi à New York, dans le quartier de Greenwich Village. Ce ne sont donc pas les Orquestas típicas et les tangos traditionnels de Buenos Aires qui ont bercé son enfance, mais le jazz des clubs de Harlem, le swing de Cab Calloway et de son orchestre.

Ce que Piazzolla a apporté au tango est d’ailleurs comparable à l’histoire des jazzmen. Alors que dans les années 1940-50, les musiciens be bop vont faire de leur musique un genre à part entière : une musique qui s’écoute sans forcément engager de mouvements, Piazzolla, lui, va émanciper le tango des pistes de danse. 

Son tango se fait complexe, varié. Il déconstruit les compas (rythmes) traditionnels, use et abuse du contrepoint, mêle quelques ingrédients du répertoire classique à celui des tangueros, inclut de nouveaux instruments dans l’orchestre (la guitare électrique, notamment)… S’il est d’abord fustigé par les gardiens de la tradition, par les représentants de la Guardia Vieja, Piazzolla finit tout de même par s’imposer parmi les maîtres incontestés du tango ou, plus précisément, du tango nuevo. 

Le tango en déclin 

Pendant que Piazzolla révolutionne l’art du tango et fait jouer cette musique aux accents populaires dans les plus prestigieuses salles de concert, le tango traditionnel, lui, souffre d’un important déclin. Sa sensualité et lascivité ne résistent pas face aux rythmes du jazz et aux mouvements enjoués du swing : la jeunesse argentine s’éprend davantage des nouvelles musiques venus du continent nord-américain que du folklore de leurs aînés. 

Nombreux orchestres sont dissous, nombreuses tanguerias ferment leurs portes ; c’est toute une part de la culture argentine qui se fait de plus en plus discrète alors que le pays connaît, par ailleurs, une période de graves instabilités politiques. 

Renaissance 

Pourtant le tango va ressurgir, revenir au goût du jour. Il suffit de quelques spectacles et nouveaux interprètes pour redonner aux Argentins – et aux Européens – le goût pour cette marche dansante. Au cours de la décennie 1990, les milongas (bals traditionnels) et autres lieux rouvrent leurs portes et les cours de tango se multiplient. 

Côté danse, les interprètes se professionnalisent, puisent quelques pas ou mouvements dans d’autres danses, ou s’essayent à des exécutions plus acrobatiques, plus spectaculaires. Côté musique, le tango s’affranchit et se libère : après le Tango Nuevo de Piazzolla, sa guitare et son bandonéon électrique, place au tango electronico, celui de Malevo ou de Gotan Project. 

Qu’il soit dansé à Buenos Aires, dans le quartier de La Boca, à Paris ou à Tarbes, interprété par un Orquesta típica ou réarrangé par un artiste électronique, le tango conserve toutefois ses deux principaux ingrédients : la séduction et la nostalgie. La séduction s’exprime par un laisser aller, l’un des partenaires qui accepte de se laisser totalement guider par l’autre. Quant à la nostalgie, c’est celle originelle des faubourgs de Buenos Aires, celles des rêves brisés et des ambitions déçues.

ROCK

Pour le plaisir de danser, du R&B, sur du rock, avoir envie d ‘avoir envie, sur des musiques des années 60 à nos jours, nous créons, pour la rentrée de septembre 2023, deux cours de rock.

Mardi 20h Débutants

Mercredi 19h30 avancés

Pour ceux qui souhaite apprendre les bases et les passés, qui vous donnerons de l élégance et du peps en soirée, venez le mardi et pour les confirmers venez apprendre de nouvelles variations, de nouveaux styles, melangeant le swing, le boogie et le jive rock, rendez vous le mercredi à 19h30

BREAK DANCE JO 2024

tous les mercredis , Linecker, vous accueille, pour 2 hrs de Break Dance, venez vous préparer pour les JO 2024

mercredi 14h

mercredi 15h

Qu’est-ce que le breaking/breakdance ?

Le breaking est un style de danse acrobatique, qui est apparu dans les rues du Bronx dans les années 1970. Le style est aisé à distinguer des autres danses comme une grande partie des mouvements s’enchaînent à même le sol — certains breakers pivotent même sur leurs mains, leur dos ou leur tête. Ceux qui pratiquent le breaking à un niveau professionnel sont désignés comme B-Boys, B-Girls ou même tout simplement « breaker ».

Bgirl Ami footwork at Nordic Break League in Copenhagen, Denmark on October 22, 2021